Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Les lectures de Nadine49

23 novembre 2015

La disparition du nombril d'Emilie de Turckheim

Un petit passage à la médiathèque et voici ce que j'ai trouvé

disparition nombril

La disparition du nombril d'Emilie de Turckheim

Ed Héloïse d'Ormesson 2014 - contemporain - 224 pages - 18 €

 

Résumé :

Dès l’instant où elle découvre le trait bleu sur le test de grossesse, Émilie se confie à son journal. Avec une sincérité sidérante, elle partage tout, les anecdotes du quotidien, ses amis, ses amours passées et présentes, son fils de deux ans qui babille… Et surtout l’émouvante rencontre avec la « petite prune » qui grandit jour après jour dans ce ventre qui lentement s’arrondit et s’alourdit jusqu’à faire disparaître son nombril. Émilie a mille vies, elle est écrivain, modèle, visiteuse de prison, maman, aime le sexe, les voyages, les cactus et les gâteaux aux amandes. On rit, on pleure, on la suit aveuglément dans ce roman d’une vie où elle livre sans détour ni tabous son univers intime qui résonne comme une expérience universelle.

Mon avis :

J'étais en recherche d'un livre court et sympathique. La couverture m'a beaucoup attirée par ses couleurs chaudes et le titre accrocheur. Un journal sur une maman enceinte ... le thème me plaisait bien. Mais alors quelle déconvenue quand j'ai découvert le contenu. Certes, il y a le côté journal intime ... mais trop intime. Elle y relate ses relations passées avec les prénoms de tous ces ex. Des passages sans tabous sur sa vision du sexe. Elle pose nue pour des "artistes peintres amateurs" même avec son gros ventre. Et surtout ce qui m'a choquée c'est que le papa de son fils et du bébé attendu n'est cité que par la lettre F. Par contre j'ai beaucoup aimé son écriiture et du coup j'ai même fait l'acquisition d'un autre roman de cette auteure "Le joli mois de mai" ... on verra bien je serai peut être plus convaincue.

Ma note : 2/5

Publicité
Publicité
17 novembre 2015

L'immobililer d'Hélèna Villovitch

J'avais besoin d'un autre roman court car théoriquement c'était le week-end à 1000 pages.

Ces week-ends là je ne prends jamais de pavés car je me lasse trop vite.

Mais avec les évènements de vendredi, j'ai très peu lu et je ne l'ai fini qu'aujourd'hui

l immobilier

L'immobilier d'Hélèna Villovitch - Ed verticales 2013 - Nouvelles - 182 pages - 19 €

 

Résumé :

Habiter la ville, habiter sa vie, s’habiter… tout court. Avec ces quatorze nouvelles immobilières, Hélèna Villovitch poursuit la chronique d’une génération précaire, la sienne. La quête d’un logement nourrit chaque mésaventure, cruelle ou burlesque, de ce recueil : entre vagabondage insouciant, co-location à l’étroit, échange d’appartements, troubles du voisinage, endettement à long terme et culbute spéculative. Autant de cloisonnements existentiels qui pèsent sur les personnages, accusent leur solitude, les minent de l’intérieur. Maniant la satire avec bienveillance, Hélèna Villovitch sonde les illusions perdues et les calculs égoïstes de notre époque, sans oublier jamais d’y glisser un grain de folie douce.

Mon avis :

J'aime le principe du recueil de nouvelles. Passer un texte à un autre, de personnages à d'autres et souvent autour d'un même thème. Ce recueil de 14 nouvelles m'a un peu déçue car j'ai eu beaucoup de mal à comprendre le thème général dans certains textes (un peu trop tiré par les cheveux). J'ai beaucoup aimé certaines nouvelles comme "Chacun chez moi" et "Ping-pong" et le retour de certains personnages (Mel et Flo). Un recueil rapide à lire mais qui ne me laissera pas un souvenir marquant je pense.

Ma note : 2,5/5 

17 novembre 2015

Kokoro de Delphine Roux

J'ai trouvé une petite nouveauté à la médiathèque

avec une couverture et un titre qui m'ont interpellée

410LSHDfNnL__SX317_BO1,204,203,200_

Kokoro de Delphine Roux - Ed Picquier 2015 - contemporain - 128 pages - 12,50 €

 

Résumé :

Dans ce roman se fait entendre une voix ténue et obstinée, attentive aux mouvements subtils de la nature et des âmes.
Koichi et sa sœur Seki n’avaient que douze et quinze ans lorsque leurs parents ont disparu dans un incendie. Depuis, ils ont le cœur en hiver. Seki s’est réfugiée dans la maîtrise et la réussite professionnelle. Koichi, lui, s’est absenté du monde, qu’il regarde en proximité.Mais le jour où il apprend que sa sœur va mal, très mal, Koichi se réveille et pose enfin les actes qui permettront à chacun de renouer avec un bonheur enfoui depuis l’enfance.

Mon avis :

Le titre et la couverture m'ont interpellée. J'ai tout de suite voyagé direction le Japon. Tout d'abord Kokoro veut dire coeur et esprit. Tout au long de ce court roman, Kiochi va nous faire découvrir son enfance, sa vie actuelle, ses angoisses et surtout la vie japonaise. J'aime savoir ce que je lis et donc j'ai passé beaucoup de temps sur internet pour découvrir certains mots ou expressions. Une jolie découverte littéraire mais aussi de la vie japonaise. Si vous avez quelques heures, n'hésitez pas vous voyagerez. Et surtout vous découvrirez que la famille c'est primordial !

Ma note : 5/5

17 novembre 2015

Le bonheur n'est pas un sport de jeune fille d'Elise Tielrooy

Grâce à la rencontre de lectrices du choletais

j'ai pu emprunté à Violaine http://leslecturesdelailai.blogspot.fr/

un livre qui me tentait depuis sa sortie en 2014

le bonheur n est pas un sport de jeune fille

Le bonheur n'est pas un sport de jeune fille d'Elise Tielrooy

Belfond 2014 - contemporain - 384 pages - 18 €

 

Résumé :

La thalassothérapie, havre de paix et de détente ? Pas toujours, et pas pour tout le monde. Une vie qui dérape dans le yaourt, des poissons tombés du ciel, un mariage refait à neuf, un lavage d'estomac inutile, des corps en chute presque libre ... Adieu forfaits embruns et autres parcours marins ! Les clients de ce week-end en thalasso sont embarqués dans un séjour pas tout à fait comme les autres. La faute à Guillemette, jeune masseuse de l'établissement. Confrontée à d'incroyables révélations sur son passé, elle devient un grain de sable dans la machine bien huilée des soins à heure fixe. En trois jours, qu'ils le veuillent ou non, Guillemette et ceux qui la côtoient vont changer de peau. Une comédie pétillante et cocasse, poignante et poétique, où il apparaît que le bonheur n'est pas un sport de jeune fille.

Mon avis :

Ce roman choral orchestré par Guillemette emmène tous les clients de cette thalasso et leurs proches dans des rebondissements vers l'amour, l'amitié, le bonheur et les larmes jusqu'à la dicision de changement de vie pour certains. Mona, Victor, Iris, Claudine, Marion,Thomas, Jean, Solange et Cyril vivent les uns auprès des autres et aussi avec les autres. Tout le monde va finir par se croiser et s'entrecroiser. Au départ c'est compliqué de comprendre qui est qui ... mais très rapidement on comprend les échanges entre tous. Ils sont tous différents avec des caractères et des vies opposés. Guillemette et son secret de famille met un beau bazar dans l'établissement mais pour notre plus grand bonheur. D'ailleurs comment accèder au bonheur ? Cet ouvrage nous le délivre ... il faut savoir s'en donner la peine. Un très bon premier roman pour Elise Tielrooy.

Ma note : 4,5/5

6 novembre 2015

Au pays des kangourous de Gilles Paris

Après notre rencontre en Septembre entre lectrices de Cholet,

j'ai eu le plaisir d'emprunter un superbe livre à Violaine http://leslecturesdelailai.blogspot.fr/

couv_au_pays_des_kangourous_poche_3

Au pays des kangourous de Gilles Paris - J'ai lu 2014 - contemporain - 219 pages

 

Résumé :

"Un matin, Simon trouve son père recroquevillé dans le lave-vaisselle… Au pays des kangourous, roman aux accents drôles et poétiques, raconte la dépression d’un homme à travers le regard de son petit garçon. « Ce matin, j’ai trouvé papa dans le lave-vaisselle.  En entrant dans la cuisine, j’ai vu le panier en plastique sur le sol, avec le reste de la vaisselle d’hier soir.  J’ai ouvert le lave-vaisselle, papa était dedans.  Il m’a regardé comme le chien de la voisine du dessous quand il fait pipi dans les escaliers. Il était tout replié sur lui-même. Et je ne sais pas comment il a pu rentrer dedans : il est grand mon papa. »  Simon, neuf ans, vit avec son père Paul et sa mère Carole dans un vaste appartement parisien. En fait, le couple n’en est plus un depuis longtemps, la faute au métier de Carole, qui l’accapare. Paul est écrivain, il écrit pour les autres. Carole est une femme d’affaires, elle passe sa vie en Australie, loin d’un mari qu’elle n’admire plus et d’un enfant qu’elle ne sait pas aimer. Le jour où Paul est interné pour dépression, Simon voit son quotidien bouleversé. L’enfant sans mère est recueilli par Lola, grand-mère fantasque et jamais mariée, adepte des séances de spiritisme avec ses amies « les sorcières », et prête à tout pour le protéger. Mais il rencontre aussi l’évanescente Lily, enfant autiste aux yeux violets, que les couloirs trop blancs de l’hôpital font paraître irréelle et qui semble pourtant résolue à lui offrir son aide. Porté par l’amour de Lily, perdu dans un univers dont le sens lui résiste, Simon va tâcher, au travers des songes qu’il s’invente en fermant les yeux, de mettre des mots sur la maladie de son père, jusqu’à toucher du doigt une vérité que l’on croyait indicible. "

Mon avis :

Une écriture super agréable pour un auteur que je viens de découvrir. Le personnage, Simon, neuf ans, est hyper attachant. Pour avoir vécu une dépression, j'ai eu mal pour cet enfant qui doit vivre la dépression de son papa et ces conséquences et j'ai beaucoup pensé à mes propres enfants. Ce papa qui est au fond du trou, cette mamie farfelue me sont très sympathiques et je n'ai qu'une envie que le papa s'en sorte. Avec la venue de la petite Lily (soit disant autiste), je la vois plus comme un ange qui veille sur Simon. Je suis plus en retrait sur le comportement distant de cette maman qui vit loin de son enfant ... Jusqu'au dénouement. Ce livre m'a remué les tripes mais aussi m'a amusé avec ce regard d'enfant et des situations burlesques. Ca donne envie de lire ses autres livres "papa et maman sont morts", "autobiographie d'une courgette" et "l'été des lucioles" où les enfants sont toujours au coeur de ses ouvrages

Ma note : 4,5/5

Publicité
Publicité
26 octobre 2015

La maladroite d'Alexandre Seurat

Lors de la réunion du Comité Lecture de la médiathèque,

j'ai découvert ce livre de la toute nouvelle rentrée littéraire qui m'a interpellée par son sujet

facing-maladroite_ok

La Maladroite d'Alexandre Seurat - Rouergue 2015 - Contemporain - 128 pages - 13,80 €

 

Résumé :

"Je voudrais me rappeler Diana, mieux que je ne peux en vrai. Je voudrais me rappeler tout ce que Diana et moi nous n'avons jamais fait ensemble, comme si nous l'avions fait. Parfois j'écoute des musiques de notre enfance, et je voudrais que la musique me la rappelle, mais la musique ne me rappelle rien, parce que nous n'étions pas ensemble, nous n'avons pas vécu la même enfance." Diana, 8 ans, a disparu, Ceux qui l'ont approchée dans sa courte vie viennent prendre la parole  et nous dire ce qui s'est noué sous leurs yeux. Institutrices, médecins, gendarmes, assistantes sociales, grand-mère, tante et demi-frère ... Ce choeur de voix, écrit dans une langage dégagée de tout effet de style, est d'une authenticité à couper le souffle. Un premier roman d'une rare nécessité.

Mon avis :

Ce livre totalement bouleversant retranscrit les dires des différents protagonistes qui ont cotoyé cette petite fille. Comment chacun a tenté de la sauver, ou parfois seulement de suspecter la maltraitance qu'elle subissait depuis ces premiers mois de vie, ou encore même comme l'affaire a été classée car il n'y avait pas assez de faits ... Les non-dits de la famille et des proches, la culpabilité des maitresses, l'impuissance des assistances sociales et des gendarmes, ... Les discours sont appris par coeur par la petite fille pour expliquer ses blessures, dues à sa maladresse. Et surtout les déménagements incessants quand les parents se sentent menacés jusqu'au jour où .... Ce livre retrace (en changeant les noms) le drame de la petite Marina morte à l'âge de 8 ans, en 2009, sous les coups de ses parents. C'est déjà pas si facile de déceler les maltraitances faites aux enfants, mais encore faut-il ensuite les prouver ... Si les machines judiciaire et sociale étaient plus rapides pour traiter les dossiers et si surtout les suivis des dossiers étaient effectués peut être que ... Un premier roman pour cet auteur court mais plein d'humanité ... Il faut le lire pour que plus jamais un enfant ne meurt de maltraitance

Ma note : 5/5

26 octobre 2015

Tout finit par un baiser de Kate Klise

Après ma dernière lecture j'avais besoin de quelque chose de léger

et donc je me suis aventuré dans le rayon ados/jeunes adultes

et j'ai choisi ce livre graâce à cette couverture qui m'invitait au voyage et à l'amour

9782226255563g

Tout finit par un baiser de Kate Klise

Albin MIchel 2014 - ados/jeunes adultes - 352 pages - 13,90 €

 

Résumé :

Une erreur de bagages et voilà les Sprinkle - Coco et sa mère Daisy- avec les valises des nelson, et les Nelson - Andrew et Weeb, son fils - avec les affaires des Sprinkle. Si les ados - Coco et Weeb - se connectent immédiatement pour échanger via Internet, les parents, bien qu'attirés l'un par l'autre, se la jouent plus comédie romantique à l'ancienne. C'est le début d'un délicieux roman plein de quiproquos, de rebondissements, de disputes et de rendez-vous secrets qui commence à Paris, la ville où l'on tombe (forcément) amoureux !

Mon avis :

Livre pour les ados à partir de 13 ans, très rapide à lire et surtout très léger. Deux histoires d'amour à quatre voix ... à travers l'Europe (Paris, Barcelone, Madrid). Avec des ados aventuriers mais avec plein de retenues, et des adultes qui se font la cour mais à demi-mots. Des quiproquos qui empêchent tout le monde de se dévoiler ... Mais ça donne aussi l'intérêt à l'histoire. Une écriture fluide qui nous entraine forcément vers une Happy End qu'on imagine dès le début ... au vu du titre entre autre ! A faire lire à vos jeunes demoiselles sans hésitation ... et pourquoi pas aux jeunes garçons !

Ma note : 4,5/5 (attention c'est une note en fonction de la catégorie)

19 octobre 2015

La petite barbare d'Astrid Manfredi

Toujours pour le comité lecture de la médiathèque,

je me suis lancée dans cette nouveauté

9782714459435

 

La petite barbare d'Astrid Manfredi

Belfond 2015 - contemporain - 160 pages - 15 €

Résumé : 

En détention on l'appelle la Barbare ; elle a vingt ans et a grandi dans l'abattoir bétonné de la banlieue. L'irréparable, elle l'a commis en détournant les yeux. Elle est belle, elle aime les talons aiguilles et les robes qui brillent, les shots de vodka et les livres pour échapper à l'ennui. Avant, les hommes tombaient comme des mouches et elle avait de l'argent facile. En prison, elle écrit le parcours d'exclusion et sa rage de survivre, et tente un pas de côté. Comment s'émanciper de la violence sans horizon qui l'a menée jusqu'ici ? Peut-elle rêver d'autres rencontres ? Et si la littérature pouvait encore restaurer la dignité ? Subversive et sulfureuse, amorale et crue, La Barbare est un bâton de dynamite rentré dans la peau d'une société du néant.

Mon avis :

Descriptions de l'univers carcéral, de la cité bétonnée avec toutes ses conséquences (manque d'amour maternel, drogues, alcool, prostitution pour faire "cracher" les fils de riche, violence). Grâce à la lecture et l'écriture elle tente de zapper son histoire. Car elle n'est pas belle son histoire ... elle est coupable de complicité de meurtre avec violence (Un jeune riche harponné par la petite barbare, puis tabassé à mort par le Gang et surtout le grand Esba). Pourtant elle se défend de n'avoir que regarder. Elle n'a aucun remord. Ce roman cru ne m'a pas laissé indifférente. Une belle écriture malgré tout ce vocabulaire vulgaire ... Je regrette juste que l'auteure en est trop joué. Elle fait presque passer la petite barbare pour une victime de la société actuelle. Malgré les changements des noms de famille, on retrouve l'affaire du "Gang des Barbares" qui s'est passée en 2006

Ma note : 3/5

19 octobre 2015

D'après une histoire vraie de Delphine de Vigan ...

La médiathèque de ma ville m'a proposé une de leurs nouveautés

pour que je leur donne mon avis.

J'ai choisi ce roman ...

2015-06-jaquette-vigan-histoire-vraie-12_1

D'après une histoire vraie de Delphine de Vigan

JC Lattès 2015 - contemporain - 484 pages - 20 €

Résumé :

"Tu sais parfois, je me demande  s'il n'y a pas quelqu'un qui prend possession de toi"

Mon avis :

Au fur et à mesure du livre l'intrigue psychologique se met en place. Delphine, le personnage principal mais aussi l'auteure se retrouve, après son dernier roman qui a eu un succès phénoménal, face à la page blanche jusqu'à ne plus réussir à tenir un crayon ou ouvrir un ordinateur. Mais heureusement elle peut compter sur l'amitié de L (son amie jamais nommée, avec ce L qui peut être remplacé par le pronom "elle"). En effet L prend de plus en plus de place, sans pour autant rencontrer ni la famille ni les amis de Delphine, une amitié à part. Quelqu'un lui en veut et lui fait parvenir des lettres anonymes. On essaye de dénouer ce qui tient de l'autobiographie et de la fiction. Et surtout on finit par psychoter sur les personnes qui nous veulent soit disant du bien. J'ai beaucoup aimé l'écriture fluide de l'auteure ainsi que cette intrigue. Je n'avais qu'une envie savoir ce qui allait advenir de Delphine qui perd sa personnalité au fil des pages. J'ai eu un souci tout le long de ce livre car je n'ai pas lu "Rien ne s'oppose à la nuit" alors qu'il en est fait beaucoup référence ... Il me faudra le lire pour mieux comprendre.

Ma note : 5/5

 

9 octobre 2015

En partenariat avec La Remanence

Dans quelque temps je viendrai vous faire part de mes avis

sur des livres de la maison d'édition La Remanence

10462542_501846356582781_4198431771626574477_n

Vous pouvez découvrir ou redécouvrir cette maison d'édition et ses romans

sur sa page facebook https://www.facebook.com/EditionsdelaRemanence 

ou sur son site http://www.editionsdelaremanence.fr/

Publicité
Publicité
1 2 3 4 5 6 7 > >>
Publicité
Archives
Newsletter
Publicité